Quelques trucs et astuces... |
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Sur cette page, je vous propose (progressivement... faisons durer le plaisir), quelques petits conseils d'entretien, de nettoyage, de réparation, de chine, d'achats...
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 Un exemple, avec le "Stoat" Matchbox (modèle Rolamatics réf.28 de 1973) |
Si vous voulez nettoyer et redonner du brillant à vos modèles réduits, évitez tout produit abrasif ou agressif... même l'alcool à 90° ou l'alcool à brûler peuvent être fatals aux vernis, laques, auto-collants ou décalques. Une bonne méthode : le chiffon dépoussiérant et pour les recoins, le coton-tige imbibé d'eau distillée (pour éviter les dépôts blanchâtres de calcaire), avec une goutte de liquide-vaisselle. Mais ce qui fait merveille, c'est encore le dégrippant/nettoyant en bombe (avec ou sans silicone) ou, encore mieux (car non gras), le nettoyant à contact électrique (genre F2)... vos modèles retrouveront comme par miracle une nouvelle jeunesse.
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Un exemple, avec le fourgon D3A Peugeot-Chenard & Walcker (réf. 25B Dinky Toys) | |
 La Simca 8 Sport Dinky : au premier plan, le pneu d'origine. Monté à l'avant, un pneu neuf de remplacement 
Tous les modèles ne vieillissent pas pareil : ici, une Studebaker datant de 1950 (repérable à ses axes de roues pincés et non matés). Bien que d'origine, es pneus ne sont même pas craquelés. 
En revanche, cette Studebaker Commander de 1953 (réf. 24Y) a reçu un train complet de pneus blancs neufs 
Là, cette Peugeot 203 aurait bien besoin d'un petit coup de pompe à l'arrière... :-) 
Tandis que cette "Dedeuche", malgré des amortisseurs arrière visiblement fatigués, exhibe toutefois de magnifiques roues peintes en crème d'origine, tout comme ses pneus... |
Un des problèmes récurrents du collectionneur de Dinky Toys est celui des pneus...Alors que les modèles d'autres marques sont bien moins touchés par le vieillissement (quasiment inconnu chez Norev, rarissime chez Solido, Lesney, Corgi, CIJ ou Quiralu, inexistant chez Tekno), les gommes Dinky (à l'exception notable des gros pneus crantés de poids lourds ou de voitures de course) ont une fâcheuse tendance à craqueler, se fendiller (pour les pneus blancs) voire fondre littéralement (pour les pneus noirs).
Cela n'affecte bien sûr que les modèles anciens (typiquement d'avant 1959) surtout français (Dinky de Bobigny), quasiment pas les Dinky anglaises (aux pneus crantés), et bien sûr pas les modèles récents à pneus nylon et/ou jantes en plastique moulé. Bref, les plus fragiles sont les pneus noirs (portant la marque "M" - pour Meccano), montés sur les jantes zamak convexes. 
Il semblerait que le problème soit dû à une réaction chimique entre le caoutchouc du pneu et le zamac de la roue. En effet, les véhicules équipés de roues acier (voitures récentes ou certaines voitures de sport comme l'Aston-Martin avec ses jantes en alu concaves) ou à fortiori en plastique, ne sont pas affectés.Solution ? Si le mal n'a pas encore commencé, prévenir en passant les pneus au talc, éviter si possible la lumière solaire directe, la chaleur et les brusques écarts de température. Une bonne précaution est de démonter les pneus d'origine (comme pour les vraies voitures de collection !) et d'exposer le modèle avec des pneus de reproduction récente (On en trouve désormais en toutes formes et tous diamètres. Autre précaution indispensable : toujours comme avec les vraies voitures, faire rouler ses modèles - ou à tout le moins ne pas les laisser trop longtemps statiques en vitrine. C'est le meilleur moyen de voir le pneu s'affaisser et prendre un faux-rond - sans compter le risque qu'il fonde et colle sur le support d'exposition. Donc, mettre le modèle sur cale ou, plus simplement, profiter des opérations régulières de nettoyage/époussetage pour faire tourner régulièrement les roues. Si le pneu s'est ovalisé et qu'on n'a pas de pneus de rechange sous la main, une opération toute simple permet de masquer les dégâts : le faire tourner ! Cela sauvera les apparences et permettra à la gomme de reprendre un semblant de forme circulaire en attendant un train de gommes neuves. Où s'approvisionner ? La plupart des boutiques spécialisées tiennent en stock une gamme de pneus. Compter entre 0,80 et 1€ pièce mais si vous êtes bon client, c'est souvent cadeau ;-); On trouve également son bonheur sur Internet. Ainsi AGCI tient un catalogue complet de pneus mais aussi de jantes et d'axes pour tous les modèles Dinky Toys. Citons également cet artisan néerlandais indispensable, modelcarparts, qui propose un catalogue de plus de 5000 pièces détachées pour Dinky, Spot-on, Corgi, Matchbox, Tekno, (drapeaux, roues, calandres, vitrages, phares, sans oublier les transferts et autocollants). Pour s'y rendre, cliquer ici |
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Deux Schuco Piccolo (de la première série, modèles d'origine de 1957...) : la Mercedes W36 et la Maserati En revanche, celles-ci, tout aussi rares car moins recherchées et jamais rééditées, sont des Gitanes (échelle 1/100), "Matchbox à la française", fournies du reste elles aussi dans un étui en forme de boîte d'allumettes. La Mercedes W196 et la Gordini. Comme sur les Matchbox anciennes, les roues sont entièrement métalliques.  
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Attention, avec les achats hors de l'Union Européenne (Etats-Unis, Canada, Japon mais aussi la Suisse !) on court toujours le risque d'un contrôle par les douanes... Ce n'est pas systématique, même si c'est devenu plus fréquent depuis le 11 septembre - et surtout avec la multiplication de l'importation de produits réglementés (des cartes pirates de décodage satellite, ou des DVD zone 1 en "avant-premère" en passant par les produits pharmaceutiques, Viagra, DHEA et autres dopants). Un conseil impératif : éviter de demander à l'expéditeur de "bidonner" en omettant de déclarer la valeur réelle du produit, en trichant sur sa teneur ou en indiquant la mention cadeau ("gift") sur le colis, ça ne trompe personne... D'abord, en cas de perte ou de détérioration, on ne pourra pas se faire rembourser, mais surtout, en cas de contrôle douanier, on risque la saisie et l'amende pour fraude ou importation illicite. Cela dit, même si le colis importé est légal, on peut toujours avoir des problèmes : même pour les jouets, un douanier sourcilleux (ou borné ?) pourra chipoter en arguant qu'il ne répond pas aux normes CE car il a des petits pièces, des éléments amovibles ou coupants (jouets dangereux interdits aux moins de 36 mois), voire toxiques (peinture au plomb...). Ce barrage (rare), franchi, les frais peuvent varier de 5,5% à 30% selon... là aussi, l'humeur des douaniers et la catégorie dans laquelle ils décident de placer l'objet (Cela dépend aussi du prix qui peut le faire passer dans la catégorie bijou ou œuvre d'art).
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